Marcel Goldstein
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Résumé
L’architecte Marcel Goldstein s’entretient en février 2016 avec deux étudiantes en architecture. Il revient sur ses « vagabondages » géographiques et intellectuels, sur l’engagement sociétal et social de l’architecture, sur les figures importantes de la culture architecturale de l’époque à Bruxelles – De Ligne, De Koninck, Stynen, Bourgeois, Wybauw, Culot, Dethier, Sternfeld -, sur ses premières expériences dans l’agence Candilis, Josic et Woods, puis dans de grandes agences aux États-Unis. Cet échange devient l’occasion pour Goldstein de s’exprimer sur l’École d’architecture La Cambre, l’arrogance des villes de fondation modernistes comme Chandigarh et Brasilia, sur le lien entre architecture et ruine, sur les raisons et déraisons de l’ARAU, sur les ressemblances et différences du métier, de l’architecture et de la ville entre les États-Unis et l’Europe, à la nouvelle prise de conscience de l’environnement qui affecte la manière de penser l’architecture.
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