Nicolas Simon

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Melissa Coelho
Mathilde Rompen

Résumé

L’architecte Nicolas Simon (1931 - ) s’entretient en février 2016 avec deux étudiantes en architecture. Il revient sur l’émergence de sa vocation, ses années de formation à l’Institut Saint-Luc à Liège, l’influence dominante de Le Corbusier et les mystères de architectures de F. L. Wright, son association avec Lucien Nahan, son exposition aux techniques de construction traditionnelles suscitées par la fréquentation du domaine de Bokrijk, quelques expériences d’auto-construction, évoquant au passage certaines de ses réalisations : monument aux héros du fort d’Ében-Émael (Bassenge), et les maisons Tiets (Lier), Vendeberg (Jupille), frères Deflandre (Jupille), Rosa Knapen (Glons), Gelée (Glons), Haesen (Émael), Fourneau (Jupille), Verjus (Ében-Émael), Spits (Housse), Dieu-Brepoels (Slins). Cet échange devient l’occasion pour Nicolas Simon de s’exprimer sur les questions de flexibilité du projet et d’appropriation par l’usager, sa fascination pour le thème figuratif de « la main », l’intérêt pour la technique mixte béton / briques et le thème conséquent de la modularité, le rapport entre architecte et clients, ainsi qu’avec les autres figures professionnelles du milieu.

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